Les points faibles :
-La défense : Alors qu’ils ont gagné l’Euro 2004
uniquement grâce à ça, cet esprit visant à défendre coûte que coûte la cité
grecque des attaques de l’envahisseur est depuis porté disparu.
La défense est trop perméable, elle a d’ailleurs déjà failli leur porter préjudice contre la Côte d’Ivoire qui a su ouvrir le score quand elle en avait besoin, Côte d’Ivoire qui serait d’ailleurs passée si elle n’avait pas offert, sur une erreur de Tioté, la qualification au grecs.
La défense est trop perméable, elle a d’ailleurs déjà failli leur porter préjudice contre la Côte d’Ivoire qui a su ouvrir le score quand elle en avait besoin, Côte d’Ivoire qui serait d’ailleurs passée si elle n’avait pas offert, sur une erreur de Tioté, la qualification au grecs.
-La possession de balle : globalement, la Grèce manque
de cohésion, autant dans les mouvements que dans leur coordination, bien qu’il
y ait des possibilités dans cette équipe capable de beaucoup mieux.
-La régularité dans le jeu : Les hellénistes ne sont
pas maîtres d’eux-mêmes, et s’ils savent produire parfois de bonnes actions,
celles-ci ne se déroulent que par intermittence, au bon vouloir de Zeus ou de
Mars.
Nos solutions :
-Se parler et défendre debout : Y’a pas de secrets,
pour bien défendre, il faut savoir qui fait quoi, être coordonné, ne pas offrir
d’espace bêtement aux attaquants en se jetant, et quand on y fait face, jouer
le ballon et pas l’adversaire.
La défense c’est l’esprit d’équipe. Autant en attaque, la
seule intention ne suffit pas, autant en défense, a priori, si vous n’êtes pas
trop idiots, vous vous en sortez convenablement, réduisant l’équipe adverse à
être obligée de fournir un geste d’exception.
Un geste de ce style là :
-Si vous défendez bien, vous n’êtes pas obligé de garder la
balle.
-Si vous défendez bien, et que vous ne gardez pas la balle
vous êtes régulier dans le jeu.
Encore une fois, les grecs sont censés déjà savoir tout ça,
ils ont gagné l’Euro là-dessus.
Le point fort :
-Le mental : la Grèce était bien mal embarqué dans son
groupe et a réussi l’exploit contre la Côte d’Ivoire qui avait tout pour se
qualifier.
Bien sûr, Tioté les a aidé, mais les occasions ils faut les
provoquer, aller les chercher, les mettre au fond, et ça, les grecs ne le
doivent qu’à eux-mêmes.
D’autant plus qu’ils ont aussi tirer sur la barre
transversale pendant ce match décisif.
Le point d’équilibre :
-Probablement Karagounis, joueur le plus expérimenté de
cette sélection, un ancien de l’Inter Milan et qui va devoir mener ses hommes à
la victoire.
Mais si on devait éviter de personnifier la chose, on dirait
tout simplement l’état d’esprit du moment.
Attention, la victoire dans le temps additionnel face à la Côte d’Ivoire les a peut-être galvanisés pour la suite, à l’image de notre équipe de France lors de la victoire face à l’Ukraine.
Attention, la victoire dans le temps additionnel face à la Côte d’Ivoire les a peut-être galvanisés pour la suite, à l’image de notre équipe de France lors de la victoire face à l’Ukraine.
Attention au piège mexicain ! Comme a dit le grand MC
Solaar « T'aurais pas dû tenter de
rotte-ca les Chicanos, ils tirent des bastos, mec, c'est pire que le tétanos !”.
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